Le Graal
Le Graal est l’un des objets les plus importants du mythe arthurien.
Presque toutes les versions concordent sur le faite que la Graal fut la coupe ayant servie à recueillir le sang du Christ après (ou pendant selon les versions) sa crucifixion par Joseph d’Arimathie. Ce dernier (soldat au service de Ponce Pilate), aurait demandé à Pilate de pouvoir récupérer le corps de Jésus pour pouvoir l’ensevelir dans le tombeau qu’il s’était réservé au départ pour lui-même (lequel s’apparente plus à une grotte qu’à un cercueil). Ayant accepté ce service, Joseph aurait donc ensuite récupéré le corps, l’aurait lavé en recueillant le sang dans une coupe (le Graal) et aurait laissé la dépouille inanimée de Jésus dans son tombeau.

Presque toutes les versions concordent sur le faite que la Graal fut la coupe ayant servie à recueillir le sang du Christ après (ou pendant selon les versions) sa crucifixion par Joseph d’Arimathie. Ce dernier (soldat au service de Ponce Pilate), aurait demandé à Pilate de pouvoir récupérer le corps de Jésus pour pouvoir l’ensevelir dans le tombeau qu’il s’était réservé au départ pour lui-même (lequel s’apparente plus à une grotte qu’à un cercueil). Ayant accepté ce service, Joseph aurait donc ensuite récupéré le corps, l’aurait lavé en recueillant le sang dans une coupe (le Graal) et aurait laissé la dépouille inanimée de Jésus dans son tombeau.
Trois jour plus tard, après sa résurrection, les juifs de l’époque aurait alors fait emmuré Joseph croyant qu’il avait caché le corps de Jésus pour faire croire à sa résurrection. Néanmoins, quelques années après, Vespasien, fils de l’empereur romain fut atteint de la lèpre. Son père, ayant entendu parlé de Jésus, envoya des missionnaires chercher ce dernier pour qu’il accomplisse un miracle pour son fils. Ces missionnaires apprirent la mort de Jésus et se mirent alors à la recherche de toutes les personnes qu’il aurait connus ou côtoyés. Ils entendirent donc parler de Joseph d’Arimathie et le libérèrent. Ils furent alors très surpris de le trouver en très bonne santé après plusieurs années de captivité sans boire ni manger (le Graal l’ayant nourrit durant toute cette période).
Ensuite Joseph suivit les missionnaires avec ses amis proches et sa famille retrouvée pour guérir Vespasien, lequel promis de se convertir si il réussissait, et quelques jours plus tard il fut effectivement guérit. Joseph fit après quelque temps un rêve étrange ou Dieu lui commanda de monter sur un bateau et de le laisser partir au gré du vent. Suite à ce rêve, il prit donc la décision de faire comme lui disait son rêve, et partit avec toute sa compagnie sur un bateau. Ce dernier les conduirent droit en Grande-Bretagne. Ils se mirent alors à construirent le château de Corbénic pour s’y installer : lui et ensuite sa descendance. Le Graal se retrouva donc dans ce château de nombreux siècles, protégé des intrus par de nombreux sortilèges.
Au final, c’est Galaad qui posera la question qu’aucun autres chevaliers n’avaient réussi à poser à la table du Roi Pêcheur, gardien du Graal à l’époque d’Arthur. Galaad fut donc admit à la table du Graal (table établie en souvenir de la Cène) et parti ensuite avec Perceval, Bohort et le Graal.
Certaines versions considèrent le Graal aussi comme la coupe ayant servie durant la Cène par Jésus et qui aurait été donnée par Pilate à Joseph d’Arimathie. D’autres vont encore plus loin précisant que le Graal aurait été taillé dans le cristal que portait Satan lors de sa descente aux enfers et qu’il aurait perdu durant cette chute.

Malgré sa faible présence dans le récit, l’ombre du Graal est néanmoins réelle tout au long de l’histoire. En effet, dès le début du règne d’Arthur, Merlin explique l’histoire de cet objet sain que les apôtres décident de ne pas décrirent dans leurs écrits car ils n’ont jamais réussi à le voir par eux-mêmes (c’est l’explication pour justifier son absence dans la Bible). Merlin en profite pour souligner deux points importants :
- Le jour de la quête du Graal sera le seul jour où tous les chevaliers de la Table Ronde seront réunis.
- Tous ces chevaliers partiront en quêtes du Graal, mais très peu en reviendront.
On comprend alors mieux pourquoi Arthur laisse de coté cette quête une bonne partie de son règne : il sait qu’il n’a pas besoin de la déclencher car cette quête se lancera d’elle-même, et une fois lancée beaucoup de ses amis mourront.
Mais si Arthur décide de mettre cette quête de coté, beaucoup de ses chevaliers seront cependant confrontés aux mystères du Graal bien avant le début de la quête, tel que Gauvain, Lancelot ou encore Perceval, pour ne citer qu’eux.